développer les photos en numérique ?
Je vais juste remettre quelques pendules à l'heure, à l'heure de la raison, bien sur !
J'entend souvent dire : les photos numériques, elles doivent etre brute de capteur sinon, c est qu'elles sont truquées ou trafiquées.
C'est une ineptie !
en fait, une photo numérique se développe. J'insiste sur le terme "développer", et non retouchée. Retouchée consiste à passer lourdement une photo sous photohop par exemple, pour virer des bourrelets, adoucir artificiellement le grain de peau, faire passer des actrices des 50 ans pour des gamines de 20 ans ou rajouter dans un ciel trop vide l'oiseau qui manquait.
Développer signifie qu'on va faire sur la photo qui sort du capteur les memes traitements que ce qu'on faisait avant, en argentique : on va la redresser, et mettre les horizons places et les verticales "verticales". L"exposition va etre optimisé, pour profiter de toute la possibilité de la photo, en veillant à ne pas bruler les hautes lumières, ni en bouchant les ombres (sauf si l'effet artisitque le nécessite bien sur).
Un petit coup de contraste ou un ajustement de la balance des blancs ? pareil, c est seulement du développement.
Sous argentique, je n'ai jamais vu un photographe, amoureux de son art, ne pas développer consencieusement ses photos. Et que faisait il dans ses bacs et dans sa chambre noire ? la même chose que ce que je viens de décrire là. Il faisait meme des retouche ponctuelles avec un petit pinceau, pour faire ressortir tel détail ou au contraire pour adoucir la surexposition de telle autre partie de la photo.
Parcequ'en fait, le dévelopement d'un photo, qu'il soit argentique ou numérique, n'est jamais que le prolongement de ce que le photographe a voulu, l'oeil dans le viseur.
Un capteur numérique, aussi cher et évolué soit il ne donnera le meilleur de lui meme sans un passage au développement. Idem pour une pellicule négatif photo : le meme négatif développé par trois personnes donnera trois rendu différent, par ceque justement la photo ne se termine pas dans le viseur, mais belle et bien sur le papier. Le développement fait donc parti de cette chaine de traitement. La délaisser, c'est comme enregistrer un disque sans passer par un ingénieur du son, c 'est comme faire la cuisine en oubliant les épices. L'idée générale sera là, mais le petit truc qui fera toute la différence, que les épices vont apporter dans un plat ou que le développement va sublimer, c est bien là le terme de la photo.
Un détail également : il n'existe pas réellement de photo brute à la sortie du capteur ; en tout cas surement pas si le format de prise de vue est le Jpg ou le Jpeg. En effet, le format .jpg est un format de compression qui non seulement détériore la photo en la compressant, et enplus lui applique toute une série de traitement pré-réglé intégré à vos appareils photos: renforcement du contraste, de la netteté, poussée de la saturation, équilibre de l"exposition, etc...
Le seul format qui s approche le plus de ce qu on peut définir comme étant in fichier brut "sans traitement", c 'est ce qu'on appelle le format .RAW.
Pas de chance, ce format n'est pas uniforme et chaque constructeur d'appareil numérique a le sien. Toujours est il que ce format fournit une photo sans post traitement, sans compression, et donc prete à passer entre les mains du photographe pour un passage au développement.
Le format RAW est un peu contraignant au début, prend plus de places sur la carte mémoire et n"'est pas reconnu par tous les outils de visionnage de photo.
Mais c est LE FORMAT INDISPENSABLE
Si je devais garder seulement un logiciel pour développer mes photos : je dégagerai photoshop, dont je me sers de moins en moins, pour ne garder que Lightroom, en version 2.
Il s'agit d'un catalogueur (indispensable pour ranger et surtout retrouver ses photos), et d'un développeur. Il est intuitif, didactique et se place réellement comme un allié de tout photographe qui veut développer proprement ses photos numériques.
J'entend souvent dire : les photos numériques, elles doivent etre brute de capteur sinon, c est qu'elles sont truquées ou trafiquées.
C'est une ineptie !
en fait, une photo numérique se développe. J'insiste sur le terme "développer", et non retouchée. Retouchée consiste à passer lourdement une photo sous photohop par exemple, pour virer des bourrelets, adoucir artificiellement le grain de peau, faire passer des actrices des 50 ans pour des gamines de 20 ans ou rajouter dans un ciel trop vide l'oiseau qui manquait.
Développer signifie qu'on va faire sur la photo qui sort du capteur les memes traitements que ce qu'on faisait avant, en argentique : on va la redresser, et mettre les horizons places et les verticales "verticales". L"exposition va etre optimisé, pour profiter de toute la possibilité de la photo, en veillant à ne pas bruler les hautes lumières, ni en bouchant les ombres (sauf si l'effet artisitque le nécessite bien sur).
Un petit coup de contraste ou un ajustement de la balance des blancs ? pareil, c est seulement du développement.
Sous argentique, je n'ai jamais vu un photographe, amoureux de son art, ne pas développer consencieusement ses photos. Et que faisait il dans ses bacs et dans sa chambre noire ? la même chose que ce que je viens de décrire là. Il faisait meme des retouche ponctuelles avec un petit pinceau, pour faire ressortir tel détail ou au contraire pour adoucir la surexposition de telle autre partie de la photo.
Parcequ'en fait, le dévelopement d'un photo, qu'il soit argentique ou numérique, n'est jamais que le prolongement de ce que le photographe a voulu, l'oeil dans le viseur.
Un capteur numérique, aussi cher et évolué soit il ne donnera le meilleur de lui meme sans un passage au développement. Idem pour une pellicule négatif photo : le meme négatif développé par trois personnes donnera trois rendu différent, par ceque justement la photo ne se termine pas dans le viseur, mais belle et bien sur le papier. Le développement fait donc parti de cette chaine de traitement. La délaisser, c'est comme enregistrer un disque sans passer par un ingénieur du son, c 'est comme faire la cuisine en oubliant les épices. L'idée générale sera là, mais le petit truc qui fera toute la différence, que les épices vont apporter dans un plat ou que le développement va sublimer, c est bien là le terme de la photo.
Un détail également : il n'existe pas réellement de photo brute à la sortie du capteur ; en tout cas surement pas si le format de prise de vue est le Jpg ou le Jpeg. En effet, le format .jpg est un format de compression qui non seulement détériore la photo en la compressant, et enplus lui applique toute une série de traitement pré-réglé intégré à vos appareils photos: renforcement du contraste, de la netteté, poussée de la saturation, équilibre de l"exposition, etc...
Le seul format qui s approche le plus de ce qu on peut définir comme étant in fichier brut "sans traitement", c 'est ce qu'on appelle le format .RAW.
Pas de chance, ce format n'est pas uniforme et chaque constructeur d'appareil numérique a le sien. Toujours est il que ce format fournit une photo sans post traitement, sans compression, et donc prete à passer entre les mains du photographe pour un passage au développement.
Le format RAW est un peu contraignant au début, prend plus de places sur la carte mémoire et n"'est pas reconnu par tous les outils de visionnage de photo.
Mais c est LE FORMAT INDISPENSABLE
Si je devais garder seulement un logiciel pour développer mes photos : je dégagerai photoshop, dont je me sers de moins en moins, pour ne garder que Lightroom, en version 2.
Il s'agit d'un catalogueur (indispensable pour ranger et surtout retrouver ses photos), et d'un développeur. Il est intuitif, didactique et se place réellement comme un allié de tout photographe qui veut développer proprement ses photos numériques.